Et voilà pourquoi l’allemand met le verbe à la fin

C’est dans la syntaxe que se joue le choc, jubilatoire, des univers mentaux. La démonstration de Heinz Wismann, philosophe allemand à Paris, auteur de «Penser entre les langues». Dans un français parfait.
https://www.letemps.ch/node/241268/amphtml

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